הרב לומד

Question :

 

Bonjour Rav,

Je ne n’arrive pas à surmonter mes tentations. Je transgresse l’interdiction de faire sortir du sperme en vain beaucoup de fois. Je suis addict à ça. Cela ne change pas combien j’essaie… et peu importe combien de fois je prends sur moi de me renforcer, je rechute encore et encore. Je me sens nul, je n’arrive pas à me contrôler. Ai-je un moyen de m’en sortir ?

Merci beaucoup

Réponse :

le pays du questionneur: ישראל

 

Bonjour,

Félicitations pour ta sage décision de demander de l’aide. Ceci est déjà en soi un premier pas vers un changement positif. Comme disent les Sages [1], celui qui est animé par une envie de se purifier, sera aidé dans sa démarche. Le simple fait de faire des actions en vue d’un changement, apporte une force puissante du ciel pour surmonter la tentation. Et je ne doute pas qu’à la fin tu réussiras !

Le premier élément qu’il est important de savoir est une grande règle dans le judaïsme : Hachem n’apporte pas à quelqu’un une épreuve à laquelle il ne peut pas surmonter [2]. C’est-à-dire, que le simple fait que la Torah a interdit une telle action est une preuve que chaque juif, sans exception a la capacité de vaincre cette épreuve, quelle que soit la situation. Tu dois donc croire en la force qui est en toi. Tu es capable de vaincre et résister à cette épreuve. Si tu inculques en toi cette croyance, tu verras que cela deviendra beaucoup plus facile. Je te donne un exemple, une personne qui veut soulever un poids, s’il lui semble qu’il est trop lourd et qu’il ne pourra pas le soulever. Alors Il essaiera de le soulever, mais se découragera très vite. Par contre, si hier il a déjà soulevé ce poids, alors aujourd’hui il essaiera aussi de le soulever et à la fin il réussira, car il sait qu’il en est capable. Il est vrai qu’après s’être beaucoup habitué et enraciné dans ce péché, s’en sortir demande de parcourir tout un “processus” qui peut prendre du temps, mais à la fin tu réussiras.

Le deuxième élément à savoir est que le mauvais penchant (Yetser Hara’) a deux objectifs dans sa volonté de te faire échouer :

1 – La ‘Avéra elle-même.

2 – Le désespoir qu’il vous cause.

Et le deuxième point est beaucoup plus important et significatif que le premier. Je m’explique:

Lorsque le Yetsér Hara’ réussit à t’abattre à plusieurs reprises, le plus grand danger est de brandir un “drapeau blanc”, soit par rapport à cette ‘Avéra spécifique (c’est-à-dire en pensant : “Je ne peux rien y faire, je suis accro et Je ne peux pas surmonter cette tentation” – et alors tu auras un rapport envers cet mauvaise action comme si c’était permis et tu n’essayeras pas de lutter contre la tentation du tout), ou soit en ce qui concerne tout ton lien avec l’accomplissement des Mitsvot de la Torah (c’est-à-dire en pensant : “Je suis une personne mauvaise et je fais que des mauvaise actions” – et alors tu risques de ne plus ressentir aucune envie de t’investir dans l’étude de la Torah et les prières et ainsi vis-à-vis de tout le domaine de la proximité avec D., parce tu te verras comme étant loin de Hachem et tu vas croire que de toutes les façons tu es indésirable devant lui).

Il est donc important, tout d’abord, de ne jamais être désespéré de soi-même. Que ce soit vis-à-vis de cette ‘Avéra (en sachant que tu es capable de surmonter cette tentation. Comme on l’a dit plus haut, Hachem ne fait pas venir à une personne une épreuve qu’il ne peut pas surmonter. Et même une personne qui a transgressé tous les interdits de la Torah, a encore en lui une étincelle sainte qui lui donnera le pouvoir de faire Téchouva et ainsi avoir droit au monde futur, même en un instant [3]), ou que ce soit en ce qui concerne l’accomplissement de toutes les Mitsvot de la Torah (comme les Sages ont dit : “Ne sois pas impie à tes yeux” [4]. Il est important de savoir et de toujours se rappeler que Hachem aime chacun juif par un amour inimaginable et intense, et cela même lorsque le Juif est descendu à un très bas niveau spirituel [5]. Et tant que nous sommes encore en vie, D. attend que nous revenions à Lui plus qu’un père n’attend son fils et une femme attend son mari [6]).

En ce qui concerne le corps de notre sujet, comment surmonter la tentation dans ce domaine ?

Le Gaon Rav Yaacov Israel Kanievski zatsal (le Steipler) s’étend beaucoup sur ce sujet dans ses lettres [7]. En dehors de ce qu’il développe au sujet de l’étude assidue de la Torah qui a pour bienfait la possibilité de détacher la personne de ce grave péché, il donne aussi des directives pour lutter contre l’envie dans ce domaine pour ceux qui sont déjà beaucoup enracinés dans le péché. “Une personne qui est déjà bien ancré dans ces mauvaises habitudes ne doit pas s’attendre à ce que du jour au lendemain, il cesse complètement de tomber dans cette faute (bien que ce soit possible, mais généralement pour ceux qui sont enracinés dedans, cela demande de parcourir un processus pour s’en extirper). Ce qu’il doit faire est d’essayer de minimiser les chutes autant que possible, c’est-à-dire que même s’il ne parvient pas à s’arrêter immédiatement, l’essentiel est de commencer à s’éloigner du péché autant que possible. Il faut essayer d’agrandir l’espace de temps sans faillir. Se mettre dans une perspective de : “Car un homme juste tombera sept fois et se relèvera ! [8]”. Et chaque fois qu’il tombera, il ne faudra pas y prêter attention du tout. Faire comme si de rien n’était. Par contre il faudra mettre en valeur les progrès qu’il fait. Bien remarquer chaque fois qu’il tient plus longtemps sans échouer”.

]Et même s’il arrive qu’il y ait une période où l’on redescend beaucoup et de manière continue, l’essentiel est qu’en général on se trouve dans un “graphe ascendant”. Dans un graphe il y a des périodes de hausses et des périodes de baisse mais en général la tendance doit être à la hausse. En bref, il faut savoir gagner comme dans une guerre. Même si parfois on tombe au combat, après être tombé au combat il ne faut pas y penser du tout. Il faut penser juste à la lutte dans laquelle on s’investit [.

Il ne faudra regarder que le grand niveau que tu atteins chaque fois que tu réussis à surmonter et te dépasser. Et par rapport à ça je veux rapporter ici les paroles du Steipler : “Même si la personne chute à plusieurs reprises, (à D. ne plaise), si en contrepartie il réussit plusieurs fois et surmonte la tentation, alors chaque fois qu’il surmonte la tentation qui est animée en lui de manière si puissante, il fait descendre de manière très sainte sur lui-même et sur tous les mondes une lumière de sainteté. Et une grande partie des étincelles de sainteté accaparées par la “sitra a’hra”, seront reprises et rendues à leur état de sainteté. On ne peut pas imaginer l’ampleur du niveau de sainteté qu’atteint la personne qui retient sa tentation dans ce moment-là. A ce moment-là il atteint la même dimension que Yossef Hatsadik. Et la règle est : qu’une personne qui lutte contre son Yetsér Hara’, et qui parfois gagne et parfois échoue, tout comme le péché est terrible, de même en résistant à la tentation, le mérite est immense. Grace à cela il pourra apporter une correction sur les imperfections qu’il a fait. Il arrivera par cela à ramener du côté de la sainteté toutes les saintes étincelles qui ont été dérobées par ses iniquités”.

]Bien sûr, d’un point de vue halakhique, il n’est pas permis d’échouer même une seule fois, mais le Steipler nous dévoile que ceux qui sont déjà enracinés dans ce péché ne doivent pas y penser, car s’ils y pensent – ils pourrait lever un “drapeau blanc”. La volonté de D. est que nous ne regardions que la lutte de manière générale et non les batailles elles-mêmes. Nous devons voire seulement le haut niveau atteint grâce aux victoires et oublier les chutes, et alors nous arriverons jusqu’à la victoire. Le Steipler écrit aussi que tant qu’une personne ne s’est pas mariée, il ne doit pas penser à faire des “Tikounim – réparations” sur les fois qu’il est tombé. Seulement après le mariage, une fois qu’il aura atteint une zone de sécurité, alors il pourra penser aux “Tikounim – réparations” comme par exemple en faisant les jours de Chovavim .

Dans le livre “Bnei Israël” (béémounato Yi’hyé) [9] il écrit à ce sujet avec une belle illustration : “Ce n’est pas par la réflexion qu’un homme se purifiera, comme le dit Maran dans le “yéssod Ha’avoda”, qu’on ne peut pas déloger le mal par la réflexion. Seulement lorsque notre Maitre Moché levait ses mains, le peuple juif réussissait. Seulement à travers une lourde lutte faite à travers des actions, en se battant avec dévouement à chaque pas, pour ne pas avoir de mauvaises pensées et pas regarder des visions interdites. Et cela en investissant des efforts énormes qui épuisent le corps. Et alors, s’appliquera le verset “D. est un homme de guerre”, comme l’expliquent nos sages, que D., béni soit-Il, est avec l’homme qui lutte dans sa guerre. Tout relâchement dans la période de la jeunesse, on ne sait pas où ça peut en venir. L’essentiel est de ne pas abandonner, même si plusieurs fois il a pris sur lui et s’est battu de toutes ses forces, et quand même il ne voit pas de conséquences bénéfiques, et le mauvais penchant brûle en lui comme un feu et le fait échouer à plusieurs reprises, c’est à son propos que nos saints sages ont dit que s’applique le verset : “Et je te verrai te prélasser dans ton sang”. Comme une personne qui s’est blessé à la guerre et que du sang coule de tous ses côtés, s’il ne se rend pas à l’ennemi, alors s’applique aussi la suite du verset “je te dirai : par ton sang, vie !”. Cela apporte un grand plaisir à Hachem, plus encore que le service des anges et séraphins. Justement – à partir d’une telle situation – un soldat peut s’élever de grade. Si bien qu’il soit blessé – il continue à se battre, ce qui n’arrive pas en temps de paix, c’est une chose rare qu’il le fera monter de niveaux”.

Il ne faut pas s’inquiéter, tu n’auras pas à être constamment dans une lutte aussi ardue, car nos sages ont dit une grande règle [10] : “Rabbi Yo’hanan a dit : L’homme a un petit organe, s’il l’affame – il sera rassasié, s’il le rassasie – il sera affamé”. C’est-à-dire que lorsque tu commenceras à surmonter ces épreuves avec fréquence, tu ressentiras un grand soulagement, tu n’auras plus un si grand désir pour cette tentation.

Bien sûr, il est très conseillé d’étudier de temps en temps des livres de morale sur l’importance de préserver le caractère sacré de la Sainte Alliance. Par exemple le livre “Sefer Hakodesh de Rabbi Aharon Roté Zatzal. Il faut faire attention que cela ne te fasse pas tomber dans la tristesse et le désespoir, mais il faudra apprendre dans ces livres de manière positive. C’est-à-dire [11] que d’une part il faut voir le mal qu’il y a dans le péché mais d’autre part il faut penser immédiatement des pensées de grandeur. Combien tu es capable et qu’à la fin tu gagneras. Ne regardes pas du tout le passé mais ouvres une “nouvelle page” à chaque fois sans crainte, en te disant toujours que tu agis ainsi parce que c’est la volonté de D ‘.

De plus, quiconque veut vraiment lutter contre ses mauvaises tentations, doit se distancer des films et de l’Internet non-filtré (chacun au niveau où il se trouve actuellement – pas à pas). Car il est impossible d’ouvrir la porte au Yetser Hara’ d’un côté, lui dérouler un “tapis rouge” devant lui, et vouloir le combattre d’un autre côté.

Ségouloth (1) pour vaincre le mauvais penchant

Je vais présenter quelques Ségouloth qui aident la personne à vaincre son Yetser Hara’. Mais il faut savoir que ce ne sont pas des “solutions miracles” mais seulement une force spirituelle qui s’ajoute pour affaiblir l’intensité de la lutte. Il faudra tout de même investir de grands efforts pour combattre ces mauvaises habitudes:

1 – Etudier chaque jour pendant quelques minutes le livre sacré du Zohar, car le Zohar purifie l’âme.

2 – Lorsque le Yetsér Hara’ prend le dessus, il faut imaginer dans son esprit comme si on se tient devant un grand homme en Torah (comme Maran Rav ‘Ovadia Yossef zatsal), et la crainte envers cet homme exemplaire viendra sur nous, et cela empêchera de pécher (Sefer Shévét Moussar, chapitre 12).

3 – Il est conseillé d’imaginer dans son esprit l’image de son père (comme ce qu’a fait Yossef Hatsadik rapporté dans le Midrach, et ainsi rapporte Maran Ha’hida dans son livre “Tsiporén Chamir סי’ ח’ אות יק”ח,. On retrouve ce conseil dans d’autres sources encore : וע”ע להגר”ח פלאג’י זלה”ה בספר מועד לכל חי פרק כ”ח, ובספרו ראה חיים פרשת וישב ).

4 – Dans le livre “Maguid Mécharim”, l’ange a révélé à Maran le Beit Yossef que pour éliminer les mauvaises pensées il faut dire 3 fois les versets suivants : י-ה-ו-ה צְבָאוֹת עִמָּנוּ מִשְׂגָּב לָנוּ אֱלֹהֵי יַעֲקֹב סֶלָה : י-ה-ו-ה צְבָאוֹת אַשְׁרֵי אָדָם בֹּטֵחַ בָּךְ : י-ה-ו-ה הוֹשִׁיעָה הַמֶּלֶךְ יַעֲנֵנוּ בְיוֹם קָרְאֵנוּ :

5 – L’ange mentionné ci-dessus a révélé à Maran le Beit Yossef, une autre Ségoula, de penser les mots suivants (sans les prononcer) : “קרע שטן  – Kara Satan“.

6 – Dans le livre “Sefer Hapé’oulot”, Rav ‘Haim Vital zatsal écrit que celui qui a de mauvaises pensées doit dire les versets commençant par la lettre ‘ה’ du chapitre 119 des Psaumes. Dans le livre “Kedouchat Yits’hak (manuscrit du Mékoubal Rav YIts’hak Kadouri zatsal – ח”ג עמ’ שצ”ט) il est écrit de dire 21 fois le verset ” הוֹרֵנִי ה’ דַּרְכֶּךָ אֲהַלֵּךְ בַּאֲמִתֶּךָ יַחֵד לְבָבִי לְיִרְאָה שְׁמֶךָ” et après cela dire les versets commençants par la lettre “ה” du psaume 119 comme évoqué ci-dessus.

7 – Encore une autre Ségoula qu’a enseigné le Arizal, qu’à chaque fois qu’une personne a une tentation qui s’éveille, il pensera dans son esprit trois fois le saint nom (sans le prononcer) : דַמוֹדַטִירוֹן.

8 – Rav ‘Haim Falaji zatsal dans son livre “Ateret Ha’haim” écrit de lire les versets suivants tous les jours (même le Chabbat), qui l’aideront à affaiblir le pouvoir du Yetsér Hara’ : י-ה-ו-ה אֱלֹהֶיךָ הוּא עֹבֵר לְפָנֶיךָ הוּא יַשְׁמִיד אֶת הַגּוֹיִם הָאֵלֶּה מִלְּפָנֶיךָ וִירִשְׁתָּם. יְהוֹשֻׁעַ הוּא עֹבֵר לְפָנֶיךָ כַּאֲשֶׁר דִּבֶּר י-ה-ו-ה: י-ה-ו-ה לְהוֹשִׁיעֵנִי וּנְגִנוֹתַי נְנַגֵּן כָּל יְמֵי חַיֵּינוּ עַל בֵּית י-ה-ו-ה: אֱלֹהִים אַל דֳּמִי לָךְ אַל תֶּחֱרַשׁ וְאַל תִּשְׁקֹט אֵל: י-ה-ו-ה עֹז לְעַמּוֹ יִתֵּן י-ה-ו-ה יְבָרֵךְ אֶת עַמּוֹ בַשָּׁלוֹם:

9 – Dans le livre de responsa “Védarcheta Vé’hakarta” (סי’ י”ח) il rapporte une liste de Ségouloth pour éliminer les tentations du Yetser Hara’ et les mauvaises pensées, issues du “Sefer Hamidot”. Les voici brièvement : a) se confesser devant un érudit en Torah. b) raconter les actions des Tsadikim (justes). c) juger chacun avec un regard positif. d) pleurer quand on prie. e) se ceindre de la ceinture d’un Tsadik. f) penser à des paroles de Torah qu’on a découvert. g) se dire à soi-même des paroles déshonorantes envers de telles attirances. h) ne pas trop manger. i) serrer ses dents. j) apprendre les Michnayot du traité “Yadayim”. k) prier pour la Chekinah. l) aller visiter les malades. m) dire : “רחמנא יגער ביה בשטן“. n) s’abstenir de commettre des interdits et demander une expiation. o) ne pas tromper l’esprit des gens. 16) donner de la charité.

10 – Il est bien aussi d’avoir toujours une feuille de “saule” dans sa poche (il n’est pas nécessaire que la feuille de saule soit de la fête de Souccot. N’importe quel saule est valable pour cela. Cependant, s’il a encore le saule avec lequel il a frappé le jour de Hochana Rabbah, il est logique que ce soit préférable). Il est possible de conserver la feuille de saule en la plastifiant (ou en la couvrant avec du scotch) et ainsi elle ne s’abîmera pas.

11 – Il est bien de lire 9 fois le chapitre 21 des Psaumes. Après chaque fois il priera à Hachem de ne pas faillir. Et voici le chapitre : לַמְנַצֵּחַ מִזְמוֹר לְדָוִד: י-ה-ו-ה בְּעָזְּךָ יִשְׂמַח מֶלֶךְ וּבִישׁוּעָתְךָ מַה יגיל יָּגֶל מְאֹד: תַּאֲוַת לִבּוֹ נָתַתָּה לּוֹ וַאֲרֶשֶׁת שְׂפָתָיו בַּל מָנַעְתָּ סֶּלָה: כִּי תְקַדְּמֶנּוּ בִּרְכוֹת טוֹב תָּשִׁית לְרֹאשׁוֹ עֲטֶרֶת פָּז: חַיִּים שָׁאַל מִמְּךָ נָתַתָּה לּוֹ אֹרֶךְ יָמִים עוֹלָם וָעֶד: גָּדוֹל כְּבוֹדוֹ בִּישׁוּעָתֶךָ הוֹד וְהָדָר תְּשַׁוֶּה עָלָיו: כִּי תְשִׁיתֵהוּ בְרָכוֹת לָעַד תְּחַדֵּהוּ בְשִׂמְחָה אֶת פָּנֶיךָ: כִּי הַמֶּלֶךְ בֹּטֵחַ בַּיקֹוָק וּבְחֶסֶד עֶלְיוֹן בַּל יִמּוֹט: תִּמְצָא יָדְךָ לְכָל אֹיְבֶיךָ יְמִינְךָ תִּמְצָא שֹׂנְאֶיךָ: תְּשִׁיתֵמוֹ כְּתַנּוּר אֵשׁ לְעֵת פָּנֶיךָ י-ה-ו-ה בְּאַפּוֹ יְבַלְּעֵם וְתֹאכְלֵם אֵשׁ: פִּרְיָמוֹ מֵאֶרֶץ תְּאַבֵּד וְזַרְעָם מִבְּנֵי אָדָם: כִּי נָטוּ עָלֶיךָ רָעָה חָשְׁבוּ מְזִמָּה בַּל יוּכָלוּ: כִּי תְּשִׁיתֵמוֹ שֶׁכֶם בְּמֵיתָרֶיךָ תְּכוֹנֵן עַל פְּנֵיהֶם: רוּמָה י-ה-ו-ה בְּעֻזֶּךָ נָשִׁירָה וּנְזַמְּרָה גְּבוּרָתֶךָ:

12 – Et bien sûr, la “Ségoula” la plus forte est de prier encore et encore. Ne pas s’arrêter de prier de tout son cœur. Car Hachem, béni soit son nom, écoute la prière de chacun.

En conclusion, je voudrais t’orienter vers une organisation de soutien qui aide les jeunes hommes et les assiste dans les questions de ce domaine. L’organisation s’appelle “Vénichemartèm – ונשמרתם“. Je n’ai pas vérifié leur manière de travailler, mais ils font surement du bon travail et savent s’occuper de ce qui a trait à ce domaine.

Je te souhaite de grandes bénédictions

Références

 

(1)    Ségouloth : Action destinée à porter chance, mais contrairement à la superstition, elle trouve son fondement dans la Kabbale ou dans les paroles de nos sages.

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